Rions un peu

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Salut Opportune

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 Salut.  Lisez avec moi ce premier manuscrit. Je suis fier de le partager avec vous. Salut Opportune De Laurel Aymeric AKPO   A ma tante et sa fille ma chère cousine, ces personnes-là sans qui cette œuvre ne serait jamais terminée et spécialement à Opportune et Sadiath   Prologue Il y a des histoires d'amour qui marquent notre vie de façon indélébile c’est-à-dire qu’au cours de sa vie, chacun de nous a connu un amour platonique ou dévorant qui a marqué son existence. Des histoires qui nous font rêver, qui nous font espérer et qui, parfois, nous brisent le cœur. Ceci est l'histoire d'un homme qui a vécu une histoire qui a commencé il y a bien longtemps, dans les couloirs d'un collège. C'était un garçon comme les autres, avec ses rêves d'adolescent et ses espoirs pour l'avenir. Et puis, un jour, il l'a vue. Elle était là, devant lui, avec ses yeux rieurs, sa silhouette fine, sa beauté, son sourire, ses rires, tout en elle sonnait comme une mé...
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Le rouge de tes yeux

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 Le rouge de tes yeux, me fait penser que tu étais amoureuse de celui que tu ne pouvais plus changer. Face à tes larmes, cet océan de miroir Où se reflète mes éclats d'âmes Ma fleur se fane  Et la beauté devient noir. Je me noie alors dans ce qui paraît mon pire cauchemar. J'écris des lettres de toi pour que tu comprennes que je ne suis plus moi. Ton désir de me revoir et le rêve que tu avais de moi,  Tous sont gravés dans ma mémoire sans oublier Cette image que je me suis fait de toi dans cette forêt où tout est noir, Cette forêt où la mort m'embrasse et la beauté s'embrase. Que de l'extase. Laurel Aymeric AKPO 
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Ce soir, comme chaque soir

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 Ce soir, comme chaque soir, Je me regarde dans le miroir. Je ne vois pas mon visage, Je ne vois qu'un fantasme. J'ai beau crié mon désespoir,  Je sais que personne ne viendra. J'ai beau montré ma foi, Cela ne suffit toujours pas. Demain j'irai à la gare  En attente de croiser ton regard  Pour que tu puisses comprendre un jour  A quel point, je me noie. Mon désespoir n'a d'égale Que ce ciel sans nuages. La tristesse me profane  Et je ne veux qu'entendre ta voix. Loin de tout ces sournois,  J'apprends et je regarde. Lire me console, Puis je m'endors. Je trouve refuge, Dans un monde imaginaire  Sans loi sans toi, Où je n'apporte que de l'amour. Laurel Aymeric AKPO 
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